| Titre de série : |
À la recherche du temps perdu, V |
| Titre : |
Sodome et Gomorrhe |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Marcel Proust, Auteur |
| Editeur : |
Paris : Librairie Générale française |
| Année de publication : |
1966 |
| Collection : |
Le Livre de poche, ISSN 0248-3653 num. 1641,1642 |
| Importance : |
530 p. |
| Présentation : |
couv. ill. en coul. |
| Format : |
16,5 cm |
| Index. décimale : |
82-3 |
| Résumé : |
Marcel Proust est probablement le premier des grands écrivains qui ait franchi les portes de Sodome et Gomorrhe en flammes. Il songea d'ailleurs à donner le nom des deux cités bibliques à l'ensemble de son oeuvre- l'objet véritable de son étude n'est pas l'idéalisation d'une passion singulière ni l'explication philosophique de son mystère ni la psychologie amoureuse de ses desservants - psychologie qui obéit simplement aux lois générales de l'amour. C'est le portrait vivant, incarné par le plus hautain des seigneurs, de « l'homme traqué » par la société, en révolte latente contre elle, c'est la lutte de la nature contre la morale.
Léon PIERRE-QUINT. Sodome, c'est M. de Charlus et Gomorrhe Albertine. Entre ces deux figures, chacune étant le centre d'une tragi-comédie dont le spectateur ne fait que percevoir les échos mêlés, le héros du livre, celui qui parle à la première personne, poursuit son voyage à la recherche du temps perdu. Roger Allard, N.R.F., juin 1992. [Source : éditeur] |
À la recherche du temps perdu, V. Sodome et Gomorrhe [texte imprimé] / Marcel Proust, Auteur . - Paris : Librairie Générale française, 1966 . - 530 p. : couv. ill. en coul. ; 16,5 cm. - ( Le Livre de poche, ISSN 0248-3653; 1641,1642) .
| Index. décimale : |
82-3 |
| Résumé : |
Marcel Proust est probablement le premier des grands écrivains qui ait franchi les portes de Sodome et Gomorrhe en flammes. Il songea d'ailleurs à donner le nom des deux cités bibliques à l'ensemble de son oeuvre- l'objet véritable de son étude n'est pas l'idéalisation d'une passion singulière ni l'explication philosophique de son mystère ni la psychologie amoureuse de ses desservants - psychologie qui obéit simplement aux lois générales de l'amour. C'est le portrait vivant, incarné par le plus hautain des seigneurs, de « l'homme traqué » par la société, en révolte latente contre elle, c'est la lutte de la nature contre la morale.
Léon PIERRE-QUINT. Sodome, c'est M. de Charlus et Gomorrhe Albertine. Entre ces deux figures, chacune étant le centre d'une tragi-comédie dont le spectateur ne fait que percevoir les échos mêlés, le héros du livre, celui qui parle à la première personne, poursuit son voyage à la recherche du temps perdu. Roger Allard, N.R.F., juin 1992. [Source : éditeur] |
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