Titre : |
Quand tu écouteras cette chanson |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Lola Lafon (1974-....) |
Editeur : |
Paris : Stock |
Année de publication : |
2022 |
Collection : |
Ma nuit au musée |
Importance : |
1 vol. (249 p.) |
Format : |
19 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-234-09247-1 |
Note générale : |
Prix Décembre 2022
Prix Les Inrockuptibles |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Shoah |
Index. décimale : |
82-3 |
Résumé : |
« Le 18 août 2021, j’ai passé la nuit au Musée Anne Frank, dans l’Annexe. Anne Frank, que tout le monde connaît tellement qu’il n’en sait pas grand-chose. Comment l’appeler, son célèbre journal, que tous les écoliers ont lu et dont aucun adulte ne se souvient vraiment.
Est-ce un témoignage, un testament, une œuvre ?
Celle d’une jeune fille, qui n’aura pour tout voyage qu’un escalier à monter et à descendre, moins d’une quarantaine de mètres carrés à arpenter, sept cent soixante jours durant. La nuit, je l’imaginais semblable à un recueillement, à un silence. J’imaginais la nuit propice à accueillir l’absence d’Anne Frank. Mais je me suis trompée. La nuit s’est habitée, éclairée de reflets ; au cœur de l’Annexe, une urgence se tenait tapie encore, à retrouver. » L. L. [Source : éditeur] |
Quand tu écouteras cette chanson [texte imprimé] / Lola Lafon (1974-....) . - Paris : Stock, 2022 . - 1 vol. (249 p.) ; 19 cm. - ( Ma nuit au musée) . ISBN : 978-2-234-09247-1 Prix Décembre 2022
Prix Les Inrockuptibles Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Shoah |
Index. décimale : |
82-3 |
Résumé : |
« Le 18 août 2021, j’ai passé la nuit au Musée Anne Frank, dans l’Annexe. Anne Frank, que tout le monde connaît tellement qu’il n’en sait pas grand-chose. Comment l’appeler, son célèbre journal, que tous les écoliers ont lu et dont aucun adulte ne se souvient vraiment.
Est-ce un témoignage, un testament, une œuvre ?
Celle d’une jeune fille, qui n’aura pour tout voyage qu’un escalier à monter et à descendre, moins d’une quarantaine de mètres carrés à arpenter, sept cent soixante jours durant. La nuit, je l’imaginais semblable à un recueillement, à un silence. J’imaginais la nuit propice à accueillir l’absence d’Anne Frank. Mais je me suis trompée. La nuit s’est habitée, éclairée de reflets ; au cœur de l’Annexe, une urgence se tenait tapie encore, à retrouver. » L. L. [Source : éditeur] |
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