Titre : |
Mémoire meurtrie |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean-Christophe Mitterrand (1946-....), Auteur ; Pierre Péan (1938-2019), Préfacier, etc. |
Année de publication : |
DL 2001 |
Importance : |
1 vol. (216 p.) |
Format : |
23 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
2-259-19498-2 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Témoignage Politique Enfance Pères et fils |
Index. décimale : |
82-94 |
Résumé : |
Jean-Christophe Mitterrand, cinquante-quatre ans, fils aîné de l'ancien président de la République, est un personnage atypique. Se définissant lui-même comme " le moins Mitterrand des Mitterrand ", tour à tour journaliste à l'AFP, puis conseiller aux Affaires africaines à l'Elysée de 1982 à 1992 et consultant international, il refuse les partis et les étiquettes.
" Je suis du parti pris de mon père ", se plaît-il à répéter.
Fils fidèle du père absent, il raconte ses blessures d'enfance et d'homme, pris dans la tourmente du pouvoir et des affaires, où il fut accusé des pires turpitudes, comme en témoigne le journaliste Pierre Péan : " Pour tuer le père, il fallait toucher le fils. "
Sa rédemption est dans la parole. [Source Babelio] |
Mémoire meurtrie [texte imprimé] / Jean-Christophe Mitterrand (1946-....), Auteur ; Pierre Péan (1938-2019), Préfacier, etc. . - DL 2001 . - 1 vol. (216 p.) ; 23 cm. ISBN : 2-259-19498-2 Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Témoignage Politique Enfance Pères et fils |
Index. décimale : |
82-94 |
Résumé : |
Jean-Christophe Mitterrand, cinquante-quatre ans, fils aîné de l'ancien président de la République, est un personnage atypique. Se définissant lui-même comme " le moins Mitterrand des Mitterrand ", tour à tour journaliste à l'AFP, puis conseiller aux Affaires africaines à l'Elysée de 1982 à 1992 et consultant international, il refuse les partis et les étiquettes.
" Je suis du parti pris de mon père ", se plaît-il à répéter.
Fils fidèle du père absent, il raconte ses blessures d'enfance et d'homme, pris dans la tourmente du pouvoir et des affaires, où il fut accusé des pires turpitudes, comme en témoigne le journaliste Pierre Péan : " Pour tuer le père, il fallait toucher le fils. "
Sa rédemption est dans la parole. [Source Babelio] |
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